La mer a été, dans l’ensemble, assez calme. A l’approche d’Antigua, un nuage noir se dessine sur la pointe Est. Prudent, on affale sous une pluie légère. L’ile, nettement plus visible à présent, s’étale de tout son long sur l’horizon. La pluie s’arrête. Les rayons du soleil ricochent maintenant sur la roche, annonçant l’entrée de la baie. Sur tribord, une petite falaise, dont l’érosion dessine une demi sphère dorée, abritant arrêtes, courbes, creux et aspérités harmonieuses. Son chapeau d’arbrisseaux verts laisse présager d’agréables promenades.
Sur bâbord, ce sont les ruines d’une fortification qui marquent l’entrée du port. Derrière, des bâtisses en pierre, des toits en ardoises, des volets –tous gris clairs- qui apparaissent derrière les longues feuilles des palmiers, qui apparaissent derrière les mats des bateaux.
Bienvenue a Antigua.
Ici, on parle Anglais.
Nos voisins sont Norvégiens, et Norvégiennes. Plus loin, c’est un vieux couple d’Américains, dont Madame s’apprête à chiffonner le teck du bateau. Deux rangs après, on boit de la bière et on refait le monde, comme trois bon potes arrivés à bon port.
SPOON !
Le crie est emporté dans la brise légère, et s’envole dans les fanions de chacun, Sudaf’, Hollandais, Norvégiens, Suédois, . . .
Putain, je voyage.
Sur bâbord, ce sont les ruines d’une fortification qui marquent l’entrée du port. Derrière, des bâtisses en pierre, des toits en ardoises, des volets –tous gris clairs- qui apparaissent derrière les longues feuilles des palmiers, qui apparaissent derrière les mats des bateaux.
Bienvenue a Antigua.
Ici, on parle Anglais.
Nos voisins sont Norvégiens, et Norvégiennes. Plus loin, c’est un vieux couple d’Américains, dont Madame s’apprête à chiffonner le teck du bateau. Deux rangs après, on boit de la bière et on refait le monde, comme trois bon potes arrivés à bon port.
SPOON !
Le crie est emporté dans la brise légère, et s’envole dans les fanions de chacun, Sudaf’, Hollandais, Norvégiens, Suédois, . . .
Putain, je voyage.